Recherche et réseaux

Dr Wilson Prichard est professeur à l’Université de Toronto, directeur de recherche de l’ICTD, et chercheur associé à l’Institut d’Etudes de Développement. Son travail est focalisé sur l’économie politique de la réforme fiscale et sur les liens entre la fiscalité, la gouvernance et le développement, tout particulièrement en Afrique. Il est l’auteur de « Taxation, Responsiveness and Accountability in Sub-Saharan Africa: The Dynamics of Tax Bargaining » (Cambridge University Press, 2015), ainsi que d’articles dans, entre autres, le Journal Britanique des sciences politiques, les Affaires Africaines, World Development, Journal of Development Studies and African Studies Review. Actuellement il est conseiller pour la Banque Mondiale et le FCDO sur la plannification de leurs programmes de taxe et de développement.

La fiscalité, les finances publiques et l’évaluation des politiques gouvernementales dans les pays à faible revenu sont les intérêts de recherches principaux du Dr Giulia Mascagni. Economiste de formation, titulaire d’un doctorat de l’université du Sussex (Département des sciences économiques), Giulia est chercheur associée au pôle de gouvernance à l’institut d’Etudes de Développement, au Royaume Uni, et directrice adjointe de recherches pour l’ICTD.

Dr Martin Hearson travaille sur les politiques de fiscalité des entreprises internationales, et particulièrement les relations entre les pays développés et les pays en développement. Il utilise les sondages, les documents d’archives et les nouvelles bases de données pour étudier les modalités de négociation des accords fiscaux internationaux. Avant de rejoindre l’ICTD, il était membre du département d’économie politique internationale de la London School of Economics, et enseignait l’économie politique et la gouvernance financière mondiale. Il a travaillé pendant 10 ans dans le secteur associatif et continue à collaborer, dans l’essentiel de ses recherches, avec des ONG impliquées dans le développement et des organisations inter-gouvernementales.

Dr Vanessa van den Boogaard est chargée de recherche et responsable de projet à la Munk School of Global Affairs and Public Policy de Toronto. Elle co-dirige le programme de recherche sur l’informalité et la fiscalité avec Max Gallien. Elle est chercheuse en sciences politiques, et se spécialise dans la politique de la fiscalité et des institutions informelles, ainsi que dans l’économie politique du développement. Elle a obtenu son doctorat en sciences politiques à l’université de Toronto. Sa thèse, qui portait sur la fiscalité informelle et l’État en Sierra Leone, a remporté le prix Vincent Lemieux récompensant la meilleure thèse de doctorat en sciences politiques au Canada. Ses recherches actuelles portent principalement sur la fiscalité informelle et la taxation de l’économie informelle en Sierra Leone, au Ghana, en RDC et en Somalie.
Responsable de projet – fiscalité informelle
Responsable de projet – enseignement et apprentissage

Dr Max Gallien est docteur en sciences politiques, et chercheur à l’ICTD. Ses recherches sont principalement axées sur la politique des économies informelles et illégales, l’économie politique du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord et les politiques de développement. Il a récemment obtenu son doctorat à la London School of Economics. Max co-dirige avec Vanessa le programme sur l’informalité et la fiscalité, ainsi que le programme de renforcement des capacités de l’ICTD.

Dr Giovanni Occhiali est économiste du développement. Il est basé à l’Institut d’études du développement (IDS), où il travaille sur un certain nombre de projets liés à l’administration et à la conformité fiscales, à la fiscalité et à la gouvernance, et codirige le programme de renforcement des capacités de l’ICTD avec le Dr Max Gallien. Ses recherches portent sur l’Afrique subsaharienne et, en dehors du domaine de la fiscalité, il s’intéresse principalement à l’économie de l’énergie et aux politiques industrielles. Il est titulaire d’un doctorat de l’université de Birmingham. Avant de rejoindre l’ICTD, il a été chercheur à la Fondazione Eni Enrico Mattei et chercheur à l’Overseas Development Institute auprès de l’Autorité Nationale du Revenu au Sierra Leone.

Dr Colette Nyirakamana est responsable de recherche pour le programme LoGRI, et chargée de recherche principale à la Munk School of Global Affairs and Public Policy de l’Université de Toronto. Ses recherches portent sur les finances locales, en particulier sur le renforcement de l’autonomie fiscale des gouvernements sub-nationaux d’Afrique subsaharienne. Elle étudie les raisons pour lesquelles, malgré l’important potentiel de ressources financières, les villes d’Afrique subsaharienne ne parviennent pas à générer suffisamment de recettes. Les recherches de Colette s’appuient sur des théories institutionnelles et d’économie politique pour montrer comment les règles et incitations institutionnelles et les dynamiques politiques locales créent des conditions favorables et défavorables à une mobilisation efficace des recettes. Ses recherches soulignent comment une faible autonomie fiscale limite la capacité des villes à financer les services publics appréciés par les citoyens. Elle a obtenu son doctorat en politique publique comparée à l’université McMaster au Canada.

Dr Philip Mader est le principal chef du programme DIGITAX et le responsable de la recherche pour la Composante 1. Il jouit de plus de 14 ans d’expérience dans le domaine de la recherche et du conseil en développement international. Ses recherches portent sur l’économie politique, la finance et le développement, l’emploi des jeunes, la financiarisation, l’inclusion financière et, plus largement, les interventions axées sur le marché dans le développement. Il a dirigé des évaluations d’impact de l’inclusion financière et des groupes de solidarité pour des bailleurs de fonds européens et internationaux.
Ses recherches antérieures, qui portaient sur la microfinance et ses liens avec la pauvreté et les marchés financiers, ont été récompensées par deux grands prix de doctorat. Il a de l’expérience en matière de recherche et de conseil en Inde et en Afrique subsaharienne et a été invité à faire des présentations lors d’événements universitaires et professionnels sur tous les continents.

Dr Fabrizio Santoro est basé à l’Institute of Development Studies, où il travaille en tant que post-doctorant sur des études empiriques sur la conformité fiscale au Rwanda, en Eswatini et en Ouganda, ainsi que sur la fiscalité informelle en Somalie. Is est le chercheur principal pour le deuxieme composant du programme DIGITAX. Les principaux intérêts de recherche de Fabrizio concernent la gouvernance, les finances publiques et la fiscalité, avec un intérêt particulier pour les méthodologies d’évaluation d’impact et l’analyse quantitative. Titulaire d’un MSc en sciences économiques et sociales de l’université Bocconi (Milan), Fabrizio a obtenu son doctorat en économie à l’université du Sussex. Il a également travaillé en tant qu’associé de recherche à Innovations for Poverty Action au Myanmar pendant un an et demi avant de rejoindre l’ICTD.
Responsable de projet – Égalité des sexes et fiscalité

Les travaux de Dr. Jalia Kangave se focalisent sur l’imposition des personnes fortunées, le genre et la fiscalité et le renforcement des capacités de recherche. Elle a été directrice de l’East African School of Taxation, a travaillé pour PricewaterhouseCoopers Ouganda en tant que consultante en fiscalité et a enseigné à l’Université internationale de Kampala. Jalia est actuellement la consultante principale pour notre programme sur le genre et la fiscalité. Elle participe également à notre programme de renforcement des capacités et à nos travaux sur l’imposition des personnes fortunées en Afrique.

Girma Gebretsadik est titulaire d’un Master en administration des revenus internationaux. Basé à Addis-Abeba, il a travaillé pendant dix ans au sein de l’administration fiscale fédérale, où il a occupé diverses fonctions, notamment celles de chef du bureau des gros contribuables, de directeur général adjoint chargé des fonctions institutionnelles et de chef de la direction de recherche et développement au sein de l’ancienne Autorité éthiopienne des recettes et des douanes. Il est accrédité comme évaluateur de l’Outil d’évaluation du diagnostic de l’administration fiscale (TADAT) et a participé à l’évaluation du TADAT de l’Éthiopie et de la RDC. Il est actuellement consultant indépendant spécialisé dans la fiscalité et secrétaire exécutif du Réseau éthiopien de recherche fiscale (ETRN).

Dr Olly Owen est coordonateur de recherche, au Réseau nigérian de recherche fiscale, et collaborateur (Avec le Dr Tom Goodfellow) sur le projet intitulé Taxation, Property Rights and the Social Contract – Fiscalité, Droits Immobiliers et le Contrat Social – au Lagos. Il est chargé de recherche dirigeant au Service pour le Développement International d’Oxford (ODID) où il travaille actuellement sur une étude de trois ans concernant l’évolution de gouvernance en matière fiscale et des revenus au Nigéria, financée par le Conseil de Recherches Economiques et Sociales – Economic and Social Research Council. A l’ODiD, il continue également de se concentrer sur les structures et les pratiques du maintien de l’ordre au Nigéria et s’intéresse particulièrement en politique et gouvernance dans les sous-régions d’Afrique occidentale et en antropologie politique. Après avoir travaillé à Londres et au Lagos, d’abord avec des groupes de société civile d’Afrique de l’ouest, puis en tant qu’analyste de risques d’investissement, Olly a fini son doctorat à l’Institut d’Antropologie Sociale et Culturelle de l’Université d’Oxford, entreprenant une étude ethnographique des forces de police du Nigéria.

Michael Falade est un chercheur en développement international et professionnel de l’évaluation ayant plus de dix ans d’expérience dans la réalisation de projets de recherches financés par différents FCDO et autres organisations internationales. Il s’intéresse particulièrement aux mesures politiques, spécialement celles portées sur la gouvernance, l’agriculture, la santé publique et diverses autres problématiques fiscales, ainsi qu’aux évaluations des mesures pour le développement. Michael détient est titulaire d’un master en santé publique. Avant de rejoindre le NTRN, Michael était analyste politique et chargé de recherches dans un groupe de réflexion sur la politique à Lagos.

Christopher Wales est consultant à l’ICTD, travaillant comme conseiller principal en recherche pour le programme DIGITAX. Il a travaillé avec les Premiers ministres et les ministres des Finances de nombreux pays sur la politique économique et fiscale, les institutions fiscales, l’administration des revenus, les questions relatives au marché du travail et la politique des pensions. Il a été membre du Conseil des conseillers économiques du gouvernement britannique (1997-2003), et a dirigé l’équipe mondiale chargée de la fiscalité et de la gouvernance chez PwC (2012-16). Par ailleurs, il a été associé du cabinet comptable Arthur Andersen (1990-97), directeur général chez Goldman Sachs, puis directeur général d’une compagnie d’assurance-vie. Chris est actuellement président du conseil d’administration du Rwanda Social Security Board, membre du conseil de l’Institute for Fiscal Studies et membre du conseil consultatif du Oxford University Centre for Business Taxation, qu’il a contribué à fonder. Il a beaucoup travaillé avec des groupes de réflexion et la société civile. Chris est titulaire d’un Master en histoire et d’un doctorat en histoire médiévale, tous deux obtenus à l’université de Cambridge.

Awa est une économiste dont les travaux portent sur les finances publiques dans les pays en développement et en transition. Elle s’intéresse particulièrement aux questions fiscales dans les pays en développement. Awa a rejoint l’équipe DIGITAX de l’IDS pour travailler sur l’évaluation de l’impact des taxes sur les services financiers numériques et l’approche de la conception d’une taxation efficace.
Elle est titulaire d’un doctorat de l’Université Clermont Auvergne en France, et de l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR), un groupe de réflexion basé au Sénégal. Ses recherches ont porté sur la fiscalité du secteur primaire dans les pays en développement, en particulier l’agriculture et les industries extractives au Sénégal. Dans sa thèse, Awa a travaillé sur les modèles de partage de la rente pétrolière, le lien entre les exonérations fiscales de la TVA et l’agriculture, la taxation des importations et ses effets sur la compétitivité, et le lien entre les recettes fiscales provenant des ressources naturelles et la productivité agricole en Afrique subsaharienne. À la suite de sa thèse, elle a coordonné deux projets sur les effets du Covid-19 au Sénégal et l’évaluation des mesures de protection sociale pour les populations vulnérables.

Adrienne Lees est chargée de recherche et travaille principalement sur des projets concernant l’administration fiscale et l’investissement, les attitudes fiscales, et sur le programme DIGITAX. Ses recherches portent sur la fiscalité, les finances publiques et le développement économique, notamment en Afrique subsaharienne. Elle a récemment terminé une mission de recherche au sein de l’Overseas Development Institute au département de la politique fiscale du ministère des finances, de la planification et du développement économique en Ouganda. Adrienne est titulaire d’un MSc en économie du développement de l’Université d’Oxford et commencera son doctorat en économie à l’Université du Sussex l’année prochaine.

Hannelore Niesten est consultante à l’ICTD, travaillant comme chargée de recherche pour le programme DIGITAX. Ses recherches portent sur les questions fiscales en rapport avec le développement économique. Hannelore a rejoint l’équipe Digitax de l’IDS pour travailler sur une évaluation fiscale comparative des services financiers numériques dans neuf pays subsahariens.
Avant cela, Hannelore a travaillé avec plusieurs unités de la Banque mondiale sur des projets juridiques et fiscaux (Pauvreté et équité, Gouvernance, Développement numérique, Subnational Doing Business, et Femmes, affaires et droit). Elle a travaillé pendant plusieurs années dans un cabinet d’avocats basé à Bruxelles et a été boursière Fulbright à la Georgetown Law School et à l’université de Floride, où elle s’est spécialisée dans le droit fiscal. Hannelore est titulaire d’un doctorat en droit de l’université de Maastricht et de l’université de Hasselt (double diplôme), d’un LLM en droit des affaires et des finances de l’université George Washington, d’une maîtrise avancée en droit fiscal et en droit notarial de l’université catholique de Louvain, et d’un Master en mondialisation et droit, et en droit européen de l’université de Maastricht. Hannelore parle le néerlandais, l’anglais et le français.

Celeste Scarpini a récemment terminé ses études de troisième cycle à l’université du Sussex, où elle a obtenu un Master en économie du développement. Avant cela, elle a obtenu une licence en développement économique et coopération internationale, en étudiant entre l’université de Florence et l’université de Reading. Tout au long de ses études, elle s’est consacrée à la compréhension des grands défis du développement, tels que la pauvreté et l’inégalité, et des politiques visant à les réduire. Ses recherches portent sur les politiques du marché du travail, la fiscalité et les instruments d’assurance sociale, l’assistance sociale et l’inclusion financière dans les pays en développement. Avant de rejoindre l’IDS, Celeste a travaillé comme assistante de recherche au département d’économie de l’Université du Sussex et comme stagiaire en recherche économique au Bureau régional du PNUD pour l’Afrique (RBA).

Mary Abounabhan est titulaire d’un Master en mondialisation, commerce et développement de l’Institute of Development Studies (IDS). Ses recherches portent sur l’économie morale de la taxation des médias sociaux au Liban. Son passage à l’IDS et son expérience du secteur privé dans les PME l’ont incitée à poursuivre ses recherches sur la fiscalité en tant que chargée de recherche au sein du programme DIGITAX. Elle a participé à des recherches sur le commerce inclusif, les relations commerciales entre le Royaume-Uni et l’Inde, et les taxes affectées à l’enrichissement des aliments.

Seid Yimam est basé à l’Institute of Development Studies, où il travaille en tant que chercheur associé sur l’administration fiscale, le genre et la conformité fiscale, la fiscalité informelle et les taxes environnementales. En dehors du domaine de la fiscalité, ses recherches portent sur le développement contemporain et plus particulièrement sur l’agriculture et la transformation des systèmes alimentaires. Il est titulaire d’un Master en économie (analyse des politiques) de l’université d’Addis-Abeba et d’un Master en économie de l’université de Copenhague. Il a travaillé comme chargé de recherche à l’Institut international des politiques alimentaires (IFPRI) et à l’Institut d’études politiques (PSI), et a également été chargé de cours d’économie à l’université Debre Berehan en Éthiopie avant de rejoindre l’ICTD.

Professeur Mick Moore est un économiste politique. Il a effectué de vastes recherches sur le terrain en Afrique et en Asie, tout particulièrement au Sri Lanka, à Taiwan et en Inde. Les dimensions nationales et internationales de bonne et mauvaise gouvernance dans les pays pauvres sont ses vastes interêts de recherche. Il se concentre surtout sur la fiscalité et la gestion des affaires publiques. Il est aussi chercheur universitaire professionel dans le pôle de Gouvernance à l’Institut d’Etudes de Développement, au Royaume Uni.

Sol Picciotto (BA Oxford, JD Chicaho) est professeur émérite à l’université de Lancaster, Conseilleur principal au Réseau de Justice Fiscal, coordinateur pour le BEPS Monitoring Group, et membre de la sous-commission du comité sur la fiscalité de l’ONU sur la résolution de conflits. Sa recherche pour l’ICTD est concentrée sur l’imposition des coorporations transfrontalières notamment pour les pays en développement. Professeur Picciotto a enseigné aux universités de Dar es Salaam (1964-1968), en Tanzanie, et à Warwick (1968-1992) et Lancaster (1992-2007) au Royaume Uni. Professeur Picciotto fut aussi directeur scientifique de l’Institut International d’Onati pour la Sociologie du Droit (2009- 2011). Il est l’auteur de « International Business Taxation and Regulating Global Corporate Capitalism », et a co-écrit de nombreux ouvrages, ainsi que beaucoup de chapitres et articles sur les différents problèmes liés à la fiscalité internationale et d’autres aspects des affaires internationales et du droit économique.

Professeur Odd-Helge Fjeldstad est un économiste au CMI, en Norvège, et à l’Institut Africain de Fiscalité, à l’université de Pretoria. Il a plus de 30 ans d’expérience dans le domaine de la recherche et de l’analyse des politiques de l’Afrique de l’est et du sud. Son travail sur la réforme fiscale, l’administration des revenus, la conformité et la fraude fiscale, la corruption, la fuite de capitaux, et les impôts des autorités locales a largement été publié aussi bien dans le milieu académique que politique. Il a également établi et maintenu des collaborations avec des centres de recherche en Angola, Namibie, Afrique du sud, Tanzanie, Uganda et en Zambie. Fjeldstad fut aussi conseiller pour différents gouvernements africains sur la gestion des finances publiques, et consultant pour des organisations de développement bilatérales et multilatérales, y compris le FCDO, Norad, le ministère des affaires étrangères norvégien, OECD, IFC et la Banque mondiale.

Michael C. Durst est un fiscaliste américain de longue date, auteur d’ouvrages sur la fiscalité internationale et les pays en développement, ancien membre du gouvernement, professeur de droit et chercheur pour l’ICTD. Il a beaucoup exercé dans le domaine de la fiscalité internationale, aussi bien dans le secteur privé qu’au sein du gouvernement américain, comme Directeur du IRS Advance Pricing Agreement Program ( Programme des accords de prix préalables). Michael a publié de nombreux articles, autant dans des journaux académiques que professionnels, sur les problèmes liés à la fiscalité internationale, tout particulièrement lorsque ces derniers touchent les pays en développement.

Sripriya Iyengar Srivatsa est adjointe de recherche à l’ICTD et travaille sur le projet « Égalité des sexes et fiscalité », plus particulièrement sur la conformité fiscale. Auparavant, elle a été Fellow de l’Overseas Development Institute au ministère des finances de la Sierra Leone, où son travail a porté sur les données pour le développement, les initiatives de renforcement des capacités de recherche et l’étude des implications sur le marché du travail de la charge de travail des ménages en Sierra Leone. Elle est doctorante à l’Université de Cambridge où son programme de recherche doctorale est étroitement lié aux intérêts de l’ICTD dans l’économie politique de la fiscalité et des revenus infranationaux. Elle a obtenu une maîtrise en économie politique à la SOAS, Université de Londres, et a travaillé auparavant comme chercheure législative au Parlement indien.

Nicolas ORGEIRA PILLAI est chargé de recherche à LoGRI. Ses recherches portent sur la mobilisation des recettes locales, avec un intérêt particulier pour la taxe foncière et la conformité fiscale. Ses travaux, menés à l’aide d’approches d’évaluation d’impact et d’analyses quantitatives, visent à soutenir les administrations fiscales dans la mise en œuvre de réformes fiscales qui contribuent à l’édification de l’État et qui améliorent la gouvernance et les relations entre le gouvernement et les citoyens. Ses projets portent également sur l’administration fiscale, le genre et la fiscalité, et l’économie informelle. Il est titulaire d’un Master en économie de l’Université de Toronto et est candidat à un doctorat en économie à l’Université du Sussex ».

Rasmus Corlin Christensen a récemment obtenu son doctorat de la Copenhagen Business School. Il s’intéresse principalement aux fondements politiques et professionnels des règles et pratiques de la fiscalité internationale. Basé à Copenhague, Rasmus travaille avec l’ICTD en tant que consultant sur la recherche et l’engagement politique liés aux négociations mondiales sur la taxation de l’économie numérique.

Dr Alexander Ezenagu est consultant chargé de recherche à l’ICTD et professeur adjoint à la faculté de droit de l’université Hamad Bin Khalifa (HBKU), au Qatar. Expert en droit commercial et fiscal, il est spécialisé dans le droit fiscal international, les taxes nationales, l’évasion fiscale et les aspects commerciaux des flux financiers illicites, ainsi que dans le conseil en matière de commerce et d’investissement. Il est titulaire d’un doctorat en droit fiscal international de l’Université McGill, au Canada, et d’un Master en droit (LL.M) de l’Université de Cambridge, au Royaume-Uni.
En tant que chercheur, les travaux d’Alexander portent sur les questions de droit fiscal et de politique fiscale, avec un accent particulier sur la relation entre la fiscalité et le développement économique et sur le rôle des institutions et des acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux dans la création de normes en matière de politique fiscale.

Dr. Mbakiso Magwape est chercheur postdoctoral à l’ICTD. Juriste spécialisé dans la fiscalité et le commerce international, il étudie les questions juridiques et politiques liées à la fiscalité des entreprises multinationales, à l’élaboration de règles et aux accords commerciaux et fiscaux multilatéraux, avec un accent sur le développement.
Avant de rejoindre l’ICTD, Dr. Mbakiso Magwape a été détaché auprès de l’International Bureau of Fiscal Documentation à Amsterdam. Il a été juriste principal, chargé de la législation et de la conformité au Botswana Unified Revenue Service, où il a rédigé la législation fiscale et commerciale du Botswana, mis en œuvre les instruments fiscaux et commerciaux internationaux et représenté le Botswana en tant qu’expert technique au niveau régional.

Kelbesa Megersa est titulaire d’un doctorat en économie appliquée. Il s’intéresse à de nombreux domaines de recherche relatifs au développement, en particulier au financement du développement, à la fiscalité et au développement du secteur privé dans les pays en développement. Kelbesa est chercheur à l’Institute of Development Studies depuis 2019. Avant cela, Kelbesa a travaillé comme chercheur doctoral et post-doctoral rattaché au Belgian Policy Research Group on Financing for Development de l’Université de Namur. Kelbesa possède plusieurs années d’expérience en matière de recherche politique et de conseil. Il a fourni un soutien politique fondé sur la recherche au ministère du Développement de la Belgique, au ministère des Affaires étrangères, du Commonwealth et du Développement et, auparavant, au ministère du Développement international du Royaume-Uni, entre autres.
Gestion de programme et communications

James Murdoch est basé à l’Institute of Development Studies. Avant de rejoindre l’ICTD, James a travaillé dans diverses organisations à but non lucratif dans de nombreux pays d’Europe, d’Afrique et d’Asie. Il a notamment été directeur des opérations mondiales de la Youth Career Initiative (YCI), Directeur général de Camara Education Zambia et directeur des communications et de la collecte de fonds de la Blue Dragon Children’s Foundation Vietnam. En tant que responsable du programme ICTD, James assure la coordination et la supervision des activités.

Rhiannon McCluskey détient un Master en Gouvernance et Développement de l’Institut d’Etudes de Développement. Sa recherche est focalisée sur le recouvrement des recettes gouvernementales et la responsabilité sociale en Afrique subsaharienne. Elle est chargée du développement et de la mise en application des résultats des recherches et de la stratégie de communications au travers des programmes de l’ICTD. Elle est à la tête de la diffusion des recherches via des voies de communication sur Internet ou autres, et est la première personne en contact avec les actionnaires et les médias.

Moyo Arewa est Directeur de programme de l’Initiative sur les revenus des collectivités locales (LoGRI). Il a précédemment occupé le poste de Directeur des initiatives stratégiques à l’ICTD et, avant cela, il était chargé du développement des politiques à la ville de Toronto. Ses recherches sur la fiscalité ont porté sur la compréhension de l’impact des technologies numériques sur la politique fiscale, l’administration et la prestation de services publics.

Simon Rees est basé à l’Institut d’Etudes de Développement et est chargé de la gestion du programme des travaux financés par la Fondation Bill et Melinda Gates. Simon s’occupe également de la coordination générale et assiste l’équipe de l’ICTD sur le plan administratif.

Rebecca est la responsable du programme DIGITAX, assurant la coordination et la supervision globales de toutes les activités de DIGITAX. Sa carrière pluridisciplinaire de plus de 10 ans dans le domaine du développement international a porté sur le rapprochement entre le développement du secteur privé (secteur financier et création d’emplois) et le développement social (égalité des sexes, autonomisation des jeunes, lutte contre le racisme et décolonisation). Parallèlement à son travail avec DIGITAX, Rebecca est également consultante sur des questions liées au pouvoir, aux privilèges et au croisement du racisme et du sexisme dans le secteur du développement international.
Elle possède une expérience internationale considérable dans les pays à revenu faible ou intermédiaire d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, où elle a occupé des postes de consultante, de gestionnaire de programmes, de chercheuse et d’analyste. Elle a précédemment travaillé avec divers donateurs et organisations de mise en œuvre, notamment l’Union européenne, le Fonds d’équipement des Nations unies (FENU), l’Institut de la Banque asiatique de développement (ADBI), le Réseau inter-agences d’éducation en situation d’urgence (INEE) et Plan International.

Oliver Roy est basé à l’Institut d’Etudes de Développement où il travaille en tant que coordinateur de projets au sein de l’ICTD. Oliver est principalement chargé de la coordination du processus des publications de l’ICTD et de l’organisation d’évènements internes et externes; il s’occupe également de la coordination et apporte un soutien administratif à l’équipe de l’ICTD.

Rhea Millward-Thompson est basée à l’Institute of Development Studies à Brighton, où elle travaille en tant que responsable de projet senior sur le programme DIGITAX au sein de l’ICTD. Elle est chargée de fournir un soutien au projet, notamment en ce qui concerne les contrats, la sous-traitance, les rapports et la gestion financière, la liaison avec les bailleurs de fonds et les partenaires, ainsi que la logistique, les voyages et les événements.

Amy est basée à l’Institute of Development Studies à Brighton, où elle travaille comme chef de projet au sein de l’ICTD. Elle est responsable de l’administration financière, de la gestion de l’information et des voyages, ainsi que du soutien général à l’équipe. Elle est titulaire d’un Master en développement international appliqué de l’Université de Reading et, avant de rejoindre l’ICTD, a travaillé sur plusieurs programmes de recherche internationaux. Elle a également une expérience opérationnelle du travail au sein d’ONG de terrain.

Texeira est basée à l’Institute of Development Studies. En tant que responsable du soutien aux projets, elle assiste l’équipe ICTD dans l’administration générale, y compris le travail financier, la réservation de voyages et l’organisation de réunions.
Avant de rejoindre l’ICTD, Texeira a travaillé à l’Itad où elle a assisté l’unité de gestion de projet dans l’administration des projets. Elle a travaillé dans l’ensemble de l’entreprise en soutenant les thèmes de la gouvernance, de la FCAS, du genre, de la croissance inclusive, de la santé et du changement climatique avec l’administration contractuelle et financière.

Amanda est titulaire d’une licence en études mondiales et études françaises de l’Université du Minnesota, ainsi que d’un Master en Afrique et développement international de l’Université d’Édimbourg.
Elle est chargée d’apporter un soutien administratif et général à l’équipe en matière de voyages, d’événements, de projets de recherche et de gestion de l’information

Diana Szpotowicz est basée à l’Institut of Development Studies. Elle a commencé sa carrière de journaliste au Canada, travaillant dans le domaine de l’information télévisée et ayant été affectée à l’étranger à l’occasion de plusieurs Jeux olympiques d’été et d’hiver. Elle a obtenu sa maîtrise en anthropologie et gestion du développement à la London School of Economics and Political Science en 2015 et travaille depuis sept ans comme stratège en communication pour des ONG et des agences gouvernementales dans le secteur du développement international. Elle accorde toujours une place prépondérante à la narration dans son travail, comme ce fut le cas dans sa série de films documentaires primés sur les données ouvertes et les pratiques agricoles modernes.

Cian J. Ward est assistant chargé de communication à l’Institute of Development Studies. Il contribue à la mise en œuvre de la stratégie de communication dans l’ensemble des programmes de l’ICTD. Il a achevé son premier cycle en économie et en allemand à l’University College Dublin en 2019 et obtenu son Master en économie du développement à l’Université de Kent en 2021. Il milite pour les droits de la langue irlandaise en Irlande.

Njeri Okono est titulaire d’un Master en communication, d’un diplôme de troisième cycle en journalisme et d’une licence en éducation. Elle a dirigé et géré des communications d’entreprise au niveau international dans diverses organisations à but non lucratif et intergouvernementales dans le monde tropical. Elle a notamment formulé et mis en œuvre des stratégies de communication, de plaidoyer et d’engagement pour des entités travaillant dans les domaines de la recherche, du développement, de l’engagement civique et des partenariats public-privé. Njeri est responsable communications stratégiques et engagement du programme DIGITAX de l’ICTD.

Priyanka est la chargée de communication et événements pour l’Initiative sur les revenus des gouvernements locaux (LoGRI). Elle est responsable du développement de l’engagement de l’initiative auprès des parties prenantes externes et gère le mandat de LoGRI en matière de communication, de sensibilisation et d’application des connaissances.
Priyanka a travaillé dans le domaine du développement international pendant plus de cinq ans, occupant des fonctions de communication, de gestion des connaissances, de plaidoyer et de recherche. Dans son dernier rôle, elle a travaillé pour Health Systems Global (HSG), où elle a contribué à gérer le portefeuille de communication de HSG et à organiser le Septième symposium mondial sur la recherche en systèmes de santé (HSR2022) à Bogota, en Colombie. Elle jouit d’une grande expérience de travail avec des organisations locales et mondiales dans le cadre de subventions financées par le BMGF, l’USAID et l’OMS. Priyanka est titulaire d’une Licence (avec mention) de l’université de Delhi et d’un Master en conflit, sécurité et développement de l’université du Sussex.